Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Qu’est-ce qui fait peut-être du récit de guerre le récit par excellence ? D’où vient la fascination qu’il exerce, l’exceptionnelle force d’entraînement ou, mieux, d’implication à laquelle il soumet le lecteur ? Du rôle qu’y tiennent les jeux du hasard...
Lire la suiteAprès Bambois, la Survivance, les Hautes-Huttes…, bienvenue aux Bois-Bannis. Chez Sophie et Grieg (ex-Sils, puis Nils). Dans cette maison isolée, quelque part dans les Vosges, où tous deux se sont retirés, il y a une vieille ânesse et des livres. Lui...
Lire la suiteLe succès mène aux métamorphoses. On l’a vu avec le roman autobiographique, que l’engouement dont il a fait l’objet a démultiplié en autofiction, récit de vie, chronique familiale et autres journaux vrais ou faux. On le constate à présent avec le roman...
Lire la suiteDans Au cœur d’un été tout en or (1), dont je parlais il y a deux ans, un personnage formule l’impression, souvent éprouvée par le lecteur lui-même, qu’« il manque quelque chose ». Manque structurel, bien sûr, qui n’a rien d’un défaut, mais est le cœur...
Lire la suiteOn l’attendait au tournant. Depuis Fief (1), son exceptionnel premier roman, on se demandait à quoi ressemblerait le deuxième livre de David Lopez, lequel nous arrive enfin, cinq ans après. Que l’auteur ait ainsi pris son temps est, en soi, déjà bon signe....
Lire la suiteComme l’auteure, elle se prénomme Polina. Sans doute comme elle aussi, elle a émigré, enfant, avec ses parents universitaires, de la Russie encore récente (1993) vers la France. Dès lors, ce sera un va-et-vient entre la scolarité à Saint-Étienne et les...
Lire la suiteÇa commence comme un conte de fées. La jeune et jolie Woody s’en va dans la forêt cueillir des baies pour son « homme » et son petit garçon. On plonge avec elle dans le lyrisme des grands bois, « d’érables rouges et négondo, de charmes et de bouleaux...
Lire la suiteTeo et Boris le Beau ont disparu. Comme Teo est le meilleur ami de Negro, celui-ci mène l’enquête à « l’Abreuvoir », « le rade de Margot », laquelle « enlève les saletés et les plastiques, tient à distance les chats et leurs pisses, les pigeons et leurs...
Lire la suiteElles s’appellent Kay, Dottie, Priss, Helena, Polly… Elles sont huit, plus une pièce rapportée, qui intervient parfois, toujours le temps d’un décalage ironique. Comme Mary McCarthy, toutes sortent de Vassar College, brillante université féminine de l’État...
Lire la suiteIl faut quand même bien en parler… J’ai beau être assez peu porté sur l’actualité littéraire, on n’exhume pas tous les jours le roman quasi achevé d’un des auteurs les plus importants du siècle passé. Parlons-en, donc. Sans revenir sur l’histoire ressassée...
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