Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Elle a pris le goût de la Renaissance. Et, peut-être, des figures féminines laissées par l’Histoire et la tradition au second plan. Deux ans après l’admirable Hamnet, où elle prenait pour héroïne la femme de Shakespeare, Maggie O'Farrell passe de l’Angleterre...
Lire la suiteAu milieu du roman, il y a un miroir. D’un côté (lequel ?), on trouve un bien pauvre garçon. Il s’appelle Simon. Il est né et a grandi à la campagne, en Irlande du Nord, où le fait d’avoir un père catholique et une mère protestante suffisait, dans les...
Lire la suiteLe titre, calamiteux de grandiloquence, est inspiré d’une phrase qui se justifie mieux dans son contexte. Elle figure dans la troisième partie de ce qu’on nous annonce comme un « triptyque romanesque », plus sobrement intitulé en anglais Life Sentences....
Lire la suiteIl y a dix ans, j'aimais déjà l'Irlande. Mais moins le roman de Sorj Chalandon, Retour à Killybegs. L'auteur s'y mettait à la place d'un combattant de l'IRA, erreur fatale... Pour lire mon article d'alors, cliquez ici.
Lire la suiteMes réticences à l’égard du roman biographique sont connues. Mais, je l’ai dit souvent aussi, il y a roman biographique et roman biographique… Au demeurant, si un livre était susceptible de me réconcilier avec ce genre dans le genre, ce serait le dernier...
Lire la suitePeut-on être un écrivain, surtout irlandais, et ne pas se sentir concerné par Joyce ?... L’écrivaine irlandaise Edna O’Brien n’est pas seulement l’auteure des Filles de la campagne (Fayard, 1988), de Girl (Sabine Wespieser, 2013) et de nombreux autres...
Lire la suiteLe Kerry, en Irlande, est un bien bel endroit. Et l’Irlande tout court, c’est-à-dire tout entière, a bien des charmes. Je me suis déjà demandé plusieurs fois d’où procède la fascination qu’inspire le vert pays des harpes : situation à l’extrême pointe...
Lire la suiteC’est un roman d’amour. Et on sait que l’amour se passe rarement comme dans les romans. Tout le charme du livre de Bernard MacLaverty est de s’en souvenir aussi. Stella et Gerry ne sont plus tout jeunes. Il a été architecte, elle, prof, d’abord dans leur...
Lire la suiteVoilà un livre qui aurait mérité une préface plus documentée que celle que Stève Passeur lui consacrait en 1948… Car il plonge ses racines dans une réalité historique bien embrouillée, tant en général que pour ce qui est de la manière dont son auteur...
Lire la suiteDe Maggie O’Farrell, j’avais aimé En cas de forte chaleur (Belfond, 2014), où elle laissait libre cours à son talent pour tirer le quotidien vers la folie. Beaucoup moins Assez de bleu dans le ciel (Belfond, 2017)… Mais, au total, quelque chose, chez...
Lire la suite