Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
L’année des 12-13 ans, c’est l’année critique. Sorti de l’enfance, on n’a pas encore complètement basculé dans cet âge, lui-même indécis, pour lequel on sait mon intérêt : l’adolescence. En tout cas, c’était à ce moment-là que tout changeait à l’époque...
Lire la suiteRappelons les faits… Apollonie Sabatier (1822-1890) fréquentait l’hôtel Pimodan, dans l’île Saint-Louis, où elle connut, entre autres, Baudelaire et Gautier. Plus tard, elle tint, rue Frochot, un salon fort connu, où affluait le gratin des lettres et...
Lire la suiteC’est un joli petit objet, que L’Herne a publié en 2019 dans sa collection Carnets. C’est un carnet, ponctué de belles illustrations, qui représentent des insectes et dont on ne sait pas l’origine, c’est dommage. « Créatures colorées » Ce n’est pourtant...
Lire la suiteLe bestiaire de Barbara Pym est éloquent : La douce colombe est morte, Comme une gazelle apprivoisée, ces titres disent bien la prudence d’héroïnes peu disposées à se lancer dans l’émotion forte, ainsi que le cadre agréablement étriqué de leur existence....
Lire la suiteIl fut un temps ou on était soit Beatles, soit Rolling Stones. Pop inventive et sautillante ou rock poisseux, il fallait choisir. Pour ma part, j’étais plutôt amateur du second. Quoique, en y réfléchissant, pas tout le temps : de Help à Penny Lane au...
Lire la suiteFeu l’Union soviétique fait couler bien de l’encre. Celle des écrivains russes, ce qui est un peu normal. Mais aussi celle de tout le monde. Serait-ce plus confortable de partager l’universelle horreur devant des faits bien connus et cent fois répétés,...
Lire la suiteDisons-le tout de suite, ce premier roman d’un enseignant australien est un livre étrange et passablement remarquable. Pourtant, on en a lu beaucoup, des histoires de pères et de fils. Les Anglo-Saxons adorent ça. Et les histoires de baleines et autres...
Lire la suiteC’est le récit d’une éducation particulière… Certes, il y est question de parents qui se séparent, de ce qu’un enfant ignore ou ne devine qu’à demi, pendant ses tête-à-tête avec un père peu causant, au long de mercredis rituels — « Nous menions alors...
Lire la suiteVoilà un livre qui aurait mérité une préface plus documentée que celle que Stève Passeur lui consacrait en 1948… Car il plonge ses racines dans une réalité historique bien embrouillée, tant en général que pour ce qui est de la manière dont son auteur...
Lire la suiteC’est le printemps des découvertes tardives. Après Edith Olivier et Rachel Ingalls, voici Jill Eisenstadt, et un roman publié en 1987. Encore une première traduction, encore une femme, encore une Anglo-Saxonne — américaine, en l’occurrence, née en 1963,...
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