Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
C’est le printemps des découvertes tardives. Après Edith Olivier et Rachel Ingalls, voici Jill Eisenstadt, et un roman publié en 1987. Encore une première traduction, encore une femme, encore une Anglo-Saxonne — américaine, en l’occurrence, née en 1963,...
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