Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Jean-François Beauchemin a beaucoup publié au Québec, son pays, où Le Jour des corneilles (2004, Prix du livre francophone 2005), notamment, a obtenu un grand succès. Le « nouveau roman » dont nous parlons ici est paru au Canada en 2021. Roman ? « Un...
Lire la suiteLes éditions Gaïa, comme leur nom (la terre, en grec ancien) l’indique, se sont fait une spécialité de la littérature étrangère. Scandinave, en particulier. Exemple avec aujourd'hui un roman qui nous vient d’Islande. Des signes parviennent quelquefois...
Lire la suiteNe tournons pas autour du pot : ce roman russe est, au sens le plus américain de l’expression, un roman noir. Tels ceux qu’inventèrent Dashiell Hammett et Raymond Chandler, un de ces romans où l’intrigue policière est prétexte à dépeindre une société...
Lire la suiteDans les années 1990 on pouvait encore faire paraître ce genre de livres… 1990, c’est précisément l’année où parut le récit d’Alice Ceresa, publié en français chez Zoé trois ans plus tard sous le titre de Scènes d’intérieur avec fillettes. La maison genevoise...
Lire la suiteCe qui passionne et retient d’abord, c’est le sujet. D’actualité et de société s’il en est : le dernier roman de l’écrivaine américaine, désormais installée à Londres, nous parle du grand âge, avec son codicille inévitable, la fin de vie. Je perçois votre...
Lire la suiteAprès les diaristes suisses (n° 43, voir ici), puis belges (n° 45, voir ici), Les Moments littéraires (Revue de l’écrit intime) consacre son numéro 49 aux diaristes libanais. Dans une passionnante et savante préface, Karl Akiki, de l’Université Saint-Joseph...
Lire la suiteAu début, on se dit qu’on n’ira pas jusqu’au bout. Et ce n’est pas tant en raison du sujet (« Il s’agirait de chroniquer un séjour en Pologne, en Allemagne de l’Est et au cœur de la Seconde Guerre mondiale – en gros, deux semaines de vacances itinérantes...
Lire la suiteIl est assez fascinant d’accompagner Stéphane Lambert sur le chemin qu’il suit, depuis à présent des années, de peintre en peintre. De passer avec lui de Goya à Spilliaert, puis à Klee et, à présent, à Van Gogh, pour ne citer que ceux auxquels il s’est...
Lire la suiteIl finit toujours par refaire surface : de Pergaud à Barbara Gowdy et à Gueorgui Vladimov (1), en passant par Kipling et London, la possibilité du récit animalier revient régulièrement tracasser les écrivains. Peut-être, à force de se projeter dans des...
Lire la suiteLe Coup du fou , Alessandro Barbaglia, traduit de l’italien par Jean-Luc Defromont (Liana Levi) La partie Fischer-Spassky de 1972, la guerre de Troie, le père du narrateur… L’écrivain italien tresse ces trois fils avec plus d’astuce que de vraie pertinence....
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