Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Le Glouton, A. K. Blakemore, traduit de l’anglais par Françoise Adelstain (Globe) Si on laisse de côté l’aspect prétendument historique, l’histoire de « l’homme sans fond » est une belle réflexion sur le mystère du corps, et un tableau saisissant des...
Lire la suiteUn tombeau ?... Non : celui à qui on s’adresse, à la deuxième personne du singulier, était trop proche pour qu’on adopte le ton révérencieux de l’éloge, trop intime pour le côté toujours un brin monumental du genre. Faudrait-il plutôt parler d’invocation...
Lire la suiteCette histoire, Marie Sizun l’a déjà racontée. « Ça n’a rien à voir », déclare-t-elle cependant lorsqu’on lui en fait la remarque. Et, en effet, quand Éclats d’enfance (Arléa, 2009) était tourné vers l’extérieur, la « villa » proprement dite, ce curieux...
Lire la suiteMarie Sizun, qui est peintre, sait regarder les tableaux. Elle est aussi, surtout, écrivaine, et elle a souvent avoué la fascination qui la pousse, dans le métro, le bus, la rue, à observer les gens et à imaginer leurs vies. Aujourd’hui, ses deux passions...
Lire la suitePour fêter le dixième anniversaire de mon blog, créé en septembre 2011, j’ai demandé à des écrivains que j’ai rencontrés ou dont j’ai parlé au cours de ces dix années de répondre à une question : « Aimez-vous parler de vos livres ? » Les textes qu’ils...
Lire la suiteIl y a souvent des maisons, chez Marie Sizun. On pense à La Maison-Guerre, évidemment. À la maison de Meudon dans La Gouvernante suédoise, à l’inoubliable immeuble populaire d’Éclats d’enfance (1). Des maisons ou, en tout cas, des lieux, qui sont souvent...
Lire la suiteUn an après Les Sœurs aux yeux bleus (1), qui venait clore la saga familiale, deux ans après un premier recueil pour lequel elle a obtenu le prix de l’Académie française(2), Marie Sizun revient à la nouvelle. Quoique. Les textes rassemblés ici sont-ils...
Lire la suiteLa rentrée littéraire a lieu, tout le monde l’a bien remarqué, de plus en plus tôt. Aussi reviendrai-je dès la mi-août vous parler de Michaël Ferrier, de Viet Thanh Nguyen, de l’étonnant premier roman d’un auteur de plus de cinquante ans et de beaucoup...
Lire la suiteEst-ce une suite ? Le mot a été écarté sur le bandeau, lequel se contente de rappeler que l’auteure de ces Sœurs aux yeux bleus est celle qui publia, en 2016, La Gouvernante suédoise (Arléa). Mais gageons que la question sera posée à Marie Sizun, lors...
Lire la suiteDepuis des années, il organisait des Mardis littéraires dont il était le fondateur. Chaque semaine, on se pressait, au Café de la Mairie, place Saint-Sulpice (Paris, 6e), pour écouter des extraits d’ouvrages qu’il avait choisis, pour rencontrer leurs...
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