Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Le Glouton, A. K. Blakemore, traduit de l’anglais par Françoise Adelstain (Globe)
Si on laisse de côté l’aspect prétendument historique, l’histoire de « l’homme sans fond » est une belle réflexion sur le mystère du corps, et un tableau saisissant des campagnes de jadis.
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Cui-Cui, Juliet Drouar (Seuil)
L’essayiste et militant trans cherche à convertir en roman le contenu de ses textes théoriques. Avec un succès, il faut le dire, relatif.
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L’Absent, Marie Sizun (Arléa)
Marie Sizun raconte le deuil qui fait suite au décès du compagnon de sa vie. Et réussit, par le miracle d’une écriture au comble de sa grâce, à faire de l’absence une autre manière d’être là.
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Les Trafiquants d’armes, Eric Ambler, traduit de l’anglais par Gabriel Veraldi, Brigitte Veraldi et Patricia Duez (L’Olivier)
Entre Hong-Kong et Sumatra, au temps de la guerre froide, le parcours initiatique de deux Américains naïfs embarqués dans une noire combine. Humour, politique, métaphysique, morale… Un art romanesque comme on n’en fait plus.
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Parmi toutes les autres, Hélène Veyssier (Buchet-Chastel)
Histoire d’Adèle, et de la brève rencontre avec Degas qui déterminera toute sa vie. Une vie placée sous le signe du manque dans son étrange plénitude. Élégance et mystère d’un récit singulier.
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Le Cinquième Diamant, Éric Faye (Seuil)
Sommes-nous seuls dans l’Univers ? Éric Faye pose la question dans ce roman subtilement dérangeant, qui renvoie dos à dos sceptiques et complotistes. Et embarque le lecteur dans un voyage captivant semé de références, troué de hublots ouvrant sur d’autres récits possibles.
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Une fratrie, Brigitte Reimann, traduit de l’allemand par Françoise Toraille (Métailié)
Retrouvée récemment dans un faux plafond, la version non expurgée d’un roman paru en 1963. L’écrivaine disparue en 1973, célèbre dans son pays, y racontait l’histoire d’un passage à l’Ouest – et celle d’une relation entre frère et sœur sur fond d’enfance intemporelle.
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Mon fils ne revint que sept jours, David Clerson (Héliotrope)
Une mère, son fils, la tourbière autour de laquelle ils se promènent au cœur de la forêt québécoise. Un mystère, peut-être, le charme vénéneux des lieux, l’emprise d’une nature où travaille la mort.
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