Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
En 1963, il publie The Barracks (1), et est renvoyé de l’école où il enseignait, sur ordre de l’archevêque de Dublin. En 1965, il publie The Dark (2), est renvoyé définitivement de l’enseignement et part s’installer pour un temps en Angleterre. Apparemment...
Lire la suiteAu début, on croit être dans un de ces ouvrages anglo-saxons écrits généralement par des femmes et contant, sur un ton enjoué, les aventures sentimentales de jeunes femmes modernes, qu’on ne lit jamais. La référence explicite à Maeve Binchy fournira peut-être,...
Lire la suiteDans Le Bal des ombres (1), déjà, Joseph O’Connor mariait le roman biographique au roman historique dans une atmosphère ostensiblement empruntée à la fiction – gothique, en l’occurrence, le personnage central du récit étant Bram Stoker, et son décor la...
Lire la suitePourquoi lit-on des romans d’espionnage ? Je me suis déjà interrogé à plusieurs reprises(1) sur le plaisir particulier qu’ils procurent ou, plus encore, sur les mystérieuses affinités liant les situations qu’ils évoquent au romanesque et la figure de...
Lire la suiteAu milieu du roman, il y a un miroir. D’un côté (lequel ?), on trouve un bien pauvre garçon. Il s’appelle Simon. Il est né et a grandi à la campagne, en Irlande du Nord, où le fait d’avoir un père catholique et une mère protestante suffisait, dans les...
Lire la suiteLe titre, calamiteux de grandiloquence, est inspiré d’une phrase qui se justifie mieux dans son contexte. Elle figure dans la troisième partie de ce qu’on nous annonce comme un « triptyque romanesque », plus sobrement intitulé en anglais Life Sentences....
Lire la suiteEn ce début d’année, les biographies et les vampires s’acharnent. Après Bela Lugosi, (voir ici), le plus célèbre interprète cinématographique de Dracula, voici le père du monstre. Abraham (Bram) Stoker (1847-1912), était employé de bureau à Dublin. Jusqu’à...
Lire la suiteC’est un roman d’amour. Et on sait que l’amour se passe rarement comme dans les romans. Tout le charme du livre de Bernard MacLaverty est de s’en souvenir aussi. Stella et Gerry ne sont plus tout jeunes. Il a été architecte, elle, prof, d’abord dans leur...
Lire la suiteQuand j’étais enfant et qu’on m’emmenait au cinéma, ce que je préférais c’était ce qu’on appelait à l’époque les présentations, qu’on désigne maintenant par l’expression de bandes annonces. D’abord, j’y trouvais l’occasion d’avoir au moins de brefs aperçus...
Lire la suiteIl s’écrit tant de « romans biographiques » et autres « récits de vie » que l’intérêt spécial qu’ils semblent susciter s’émousse. On éprouve le besoin de produits de plus en plus forts. Et il ne faut pas s’étonner si, dans cette course à la vie la plus...
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