Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Récemment couronnée par le prix Johann Peter Hebel (1), l’œuvre de Pierre Kretz compte plutôt, outre les essais et le théâtre, des romans qu’on pourrait dire généralistes (2). L’homme a quand même tâté du polar avec le désopilant Disparu de la route des...
Lire la suiteAprès, au début de l’année, Le Masque de Dimitrios (voir ici), en attendant deux autres rééditions en 2025, voici le deuxième des romans de l’écrivain anglais mort en 1998, que L’Olivier a entrepris de nous faire redécouvrir. Comme c’était le cas pour...
Lire la suiteComme l’alpinisme, la foi et quelques autres thèmes, l’espionnage redevient un centre d’intérêt (1). Pas celui des Coplan, que dévorait ma mère, et dont, enfant, je contemplais rêveusement les couvertures énigmatiques, où des gens en gabardine brandissaient...
Lire la suitePourquoi lit-on des romans d’espionnage ? Je me suis déjà interrogé à plusieurs reprises(1) sur le plaisir particulier qu’ils procurent ou, plus encore, sur les mystérieuses affinités liant les situations qu’ils évoquent au romanesque et la figure de...
Lire la suiteD’habitude je ne lis pas de romans d’espionnage. Mais, là, c’est spécial. Les Éditions du Canoë nous font, dans ce domaine, faire un singulier pas de côté, et les pas de côté sont toujours salutaires. La maison née en 2017 après la disparition de La Différence,...
Lire la suiteÇa peut se lire comme un roman d’espionnage. Et tous les romans d’espionnage obéissent à la logique de l’oignon ou, si l’on préfère, des poupées russes, un faux-semblant en dissimulant un autre jusqu’au dévoilement final. Le problème, avec les romans...
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