Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Au lycée d’Alger, il avait eu le même professeur de philosophie qu’Albert Camus. Mais Jean Grenier lui avait conseillé l’édition plutôt que l’écriture. Conseil qu’il eut raison, comme le fit son illustre condisciple dans son domaine, de suivre… En 1936,...
Lire la suiteLes quatre prix littéraires les plus importants ont à présent été tous décernés. Ils sont allés, si j’ai bien compris, à deux ouvrages historiques, à une enquête journalistique mâtinée de biographie, et à un autre « roman » qui grouille de personnes réelles,...
Lire la suiteIl faut le reconnaître : c’est leur spécialité. Dickens, Mark Twain, Salinger, pour ne citer que les plus grands noms… Les Anglo-Saxons, malgré Le Grand Meaulnes, ont porté le récit d’enfance et d’adolescence à un degré supérieur de réussite. Et ne parlons...
Lire la suite« Il n’avait pas une mauvaise nature, à moins qu’on ne qualifie ainsi la sécheresse de cœur unie à pas mal d’égoïsme ; mais il était considéré, en général, comme un homme respectable, car il se conduisait correctement dans les circonstances ordinaires...
Lire la suiteVoilà un petit livre qui ne fera de peine à personne. Délicat, bien intentionné, riche en beaux et bons sentiments, bref, consensuel en diable, ce serait bien étonnant qu’il n’obtienne pas un prix dans la grande distribution qui se prépare. De Kaouther...
Lire la suiteComment en suis-je venu à tenir un blog ? Quel plaisir y a-t-il pour moi à écrire des critiques de livres ? Ai-je une ligne éditoriale ?... Ceux que ces questions hantent et taraudent trouveront des réponses dans l’interview de moi qui figure dans le...
Lire la suiteSi ce n’était qu’un roman d’espionnage et de guerre, ce serait déjà très réussi. Mais, en plus, c’est bien davantage que cela. Le narrateur, qui restera anonyme, annonce l’essentiel dès les premières lignes : « Je suis un espion, une taupe, un agent secret,...
Lire la suiteTout vient de son prénom, de cet aristocratique et proustien Oriane accolé à un nom de famille qu’elle considérait comme « désespérément petit-bourgeois ». « Un nom d’objet », ajoutait-elle. « Et même pas. Si encore je m’étais franchement appelée Tabouret…...
Lire la suiteEn janvier dernier, Philippe Videlier avait suscité mon enthousiasme par ses Quatre saisons à l'hôtel de l'Univers (Gallimard). Infatigable, notre homme est déjà de retour avec ces Dernières nouvelles des bolcheviks, lesquelles s’annoncent décidément...
Lire la suiteOn n’en a jamais fini avec Vialatte. En plus des romans et récits, les articles, chroniques et billets que l’auteur des Fruits du Congo publia dans mille journaux et magazines divers semblent une mine inépuisable. Les passionnants Cahiers des Amis d’Alexandre...
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