Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
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Rêve d’une pomme acide, Justine Arnal (Quidam)
Autour d’un trou noir – le suicide de la mère –, le récit grinçant et radical d’une enfance entre deux parents, deux régions et deux langues.
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Un livre, Fabrice Gaignault (Arléa)
De quelques lignes dans Si c’est un homme, de Primo Levi, l’auteur tire, en une soixantaine de pages, un éloge discutable et convenu de la lecture.
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La Trilogie de Copenhague, Tove Ditlevsen, traduit du danois par Christine Berlioz et Laila Flink Thullesen (Bourgois)
Bourgois réunit en un seul volume de sa collection de poche les trois superbes récits autobiographiques de l’écrivaine danoise morte en 1976.
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Cairn, Kathleen Jamie, traduit de l’anglais par Ghislain Barreau (La Baconnière)
La poétesse et essayiste écossaise assemble, sur le modèle du cairn, de courts textes en vers ou en prose dont le fil conducteur est, autant que la dégradation progressive de la nature, la présence au monde.
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Les Remplaçants, Bernardo Carvalho, traduit du portugais par Elisabeth Monteiro Rodrigues (Métailié)
Un père et son fils voyagent dans un petit avion au-dessus de la jungle brésilienne… Le récit d’une enfance à l’époque de la dictature, le portrait d’un pays, une enquête psychanalytique et un fantastique jeu de miroirs.
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Fabienne Verdier, Les formes de l’invisible, Stéphane Lambert (Arléa)
Après celles de plusieurs autres peintres, l’écrivain belge reparcourt avec l'acuité et la profondeur qui lui sont habituelles l’œuvre d’une grande artiste contemporaine. Il poursuit, à travers ses tableaux, la quête d’une « cohérence derrière l’infinie diversité » de l’univers.
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Au cinéma central, Fabrice Gabriel (Mercure de France)
Moments de l’existence et titres de films se répondent, dans cette autobiographie éclatée et subtile, placée sous le signe de la nostalgie élégante.
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Une génération passe, une génération vient, Peretz Markish, traduit du yiddish par Rachel Ertel (L’Antilope)
Histoire de Mendl le meunier, de son fils Ezra, et de leur shtetl en Ukraine au temps de la Révolution… Ce roman d’une modernité éblouissante, traduit pour la première fois depuis sa parution en 1929, dit toute la tension entre le passé et l’avenir, l’immobilité et le mouvement.
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À deux heures, il sera trois heures, Sergi Pàmies, traduit du catalan par Edmond Raillard (Actes Sud)
Dix récits courts dans lesquels l’écrivain catalan déploie son art de la narration oblique et de la construction baroque, en un jeu entre réalité et fiction qui est aussi une réflexion sur la nouvelle en tant que genre.
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