Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Monument Valley, Pascal Chapus (Arléa)
Un paysage écrasant, un motel perdu dans le désert, un deuil mystérieux… Un premier roman minimaliste et nostalgique.
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Bolla, Rajtim Statovci, traduit du finnois par Claire Saint-Germain (Les Argonautes)
Arsim et Miloš, l’Albanais du Kosovo et le Serbe, pris entre l’amour impossible et la guerre… Une écriture sèche et frénétique qui convient aux violences de l’époque.
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Le Mot pour dire rouge, Jon McGregor, traduit de l’anglais par Christine Laferrière (Bourgois)
Le roman de l’écrivain britannique commence comme un récit d’aventures, continue comme une histoire de résilience, mais mène surtout une belle et subtile méditation sur le langage.
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Les Gardiens de la maison, Shirley Ann Grau, traduit de l’anglais par Colette-Marie Huet (Belfond [vintage])
L’auteure américaine eut le prix Pulitzer en 1965 pour ce roman digne des plus grands écrivains du sud des États-Unis. Vaste demeure, secrets de famille, vengeances… et la splendide nature.
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Le Parc aux roseaux, Thuân, traduit du vietnamien par Yves Bouillé (Actes Sud)
Comme l’auteure, la jeune héroïne flotte entre deux univers, hésite entre Paris et son Vietnam natal, et sa mélancolie parle d’un dépaysement universel.
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La Rédactrice, Michèle Cohen (Les Éditions du Panseur)
De la Tunisie à Paris, du lycée à la radio et à la pub, toute une vie vue sous l’angle de l’écriture (et de l’humour).
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Le Vert Paradis et autres écrits, Victoria Ocampo (Vendémiaire)
La plupart des textes écrits en français par l’écrivaine et éditrice argentine disparue en 1979. Elle y parle de son enfance, de ses premières lectures, de Lawrence d’Arabie, de Proust, des palmiers… d’un temps où la littérature était « une aventure mémorable ».
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Rombo, Esther Kinsky, traduit de l’allemand par Olivier Le Lay (Bourgois)
Le troisième livre traduit de l’auteure de La Rivière raconte le tremblement de terre de 1976 tel que l’ont vécu les habitants d’un petit village du Frioul. Elle y confirme qu’elle est une grande écrivaine des lieux et de la mémoire.
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Maud Martha, Gwendolyn Brooks, traduit de l’anglais par Sabine Huynh (Globe)
La poétesse afro-américaine racontait dans cet unique roman, paru en 1953 et enfin traduit, la difficulté d’exister comme femme et comme Noire dans les États-Unis d’alors. Sans discours, par la grâce d’une écriture ironique et poétique.
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