Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Les pères et les mères ont la cote. Je ne sais pas si vous l’avez remarqué comme moi. Il y a peu de temps encore on racontait son enfance, à présent on raconte la vie de ses parents. Bien des auteurs semblent penser que, puisqu’ils les ont mis au monde,...
Lire la suiteElle écrit systématiquement « je m’en rappelle » mais, une fois n’est pas coutume, on ne peut pas (même moi) lui en vouloir. Si elle ne le faisait pas, Léa Tourret dérogerait au parti pris d’hyperréalisme qui est au cœur de son premier roman. Je ne parle...
Lire la suiteIls sont trois. D’abord, un narrateur, dans lequel on s’interdira d’autant moins de reconnaître Alain Veinstein qu’il avoue être poète, écrivain, créateur sur France Culture de l’émission Nuits magnétiques. Après une rupture, entre deux relations et situations,...
Lire la suiteVoici un nouvel éditeur. Il est installé à Marseille, et ses quatre premières publications ont vu le jour ce mois d’avril. Il s’appelle Le Bruit du monde. Un nom où s’annonce clairement l’exigence d’une littérature « en prise avec les enjeux du monde...
Lire la suitePour son deuxième roman (après Louvre, Seuil, 2019), Josselin Guillois tente le mélange. Voici en effet un roman biographique (Rembrandt), qui est aussi, inévitablement, historique (Amsterdam au Siècle d’or), et articule une réflexion sur la peinture...
Lire la suiteVoici le premier roman d’une auteure qui n’a pas trente ans. Que raconte-t-il ? Une enfance ballotée entre père et mère, entre solitude et besoin d’intégrer, à l’école puis au lycée, des « tribus » ; la rencontre de « Lui », qui deviendra vite « Tu »,...
Lire la suiteQu’est-ce qu’Ogliano ? Un village qui n’existe pas. « Une construction de pure fiction », avoue, dans une Note au lecteur, Elena Piacentini, qui « est corse et vit à Lille », a publié « plusieurs polars », et dont c’est le « premier roman en littérature...
Lire la suiteIl doit rembourser une grosse dette : un prêt étudiant contracté pour financer ses études de cinéma. Le voilà donc condamné à gagner de l’argent. Comme il peut : à coups de petits boulots mis bout à bout. On le verra ainsi successivement serveur, faux...
Lire la suite« Malika, c’est ma mère », écrit Abdellah Taïa en quatrième de couverture. Une telle déclaration annonce, au-delà de la réalité biographique éventuelle, un texte en forme de portrait mais aussi l’histoire d’une vie — et, ici, d’un pays, le Maroc, entre...
Lire la suiteLes éditions de la Nuée Bleue rééditent ce printemps un texte publié une première fois par leurs soins en 2005, et qui connut alors, en tout cas au-delà des Vosges, un franc succès. Il reparaît enrichi d’une postface de l’auteur, où celui-ci définit modestement...
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