Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Dans Théorie de la vilaine petite fille (Zulma, 2014), Hubert Haddad ressuscitait les sœurs Fox, à l’origine du « spiritualisme moderne ». C’était l’occasion d’une assez fascinante allégorie de la littérature et, au-delà, d’une méditation sur le mystère...
Lire la suiteLa recette est connue : faire semblant de raconter une histoire tout en parlant réellement d’autre chose, et l’inverse, une intrigue ironique et des à-côtés faussement secondaires échangeant constamment leurs rôles. Nous avons ainsi eu de vrais-faux romans...
Lire la suiteÀ chacun ses faiblesses : j'aime les années 1950. De loin, s'entend… Pour rien au monde je ne voudrais m'y trouver transporté par quelque sortilège. Mais je goûte volontiers, à l'occasion, le charme rétro de ces années qui me ramènent à mes toutes premières...
Lire la suiteDans certaines publications on peut encore lire quelquefois à propos de la littérature des choses vraiment intéressantes, stimulantes et qui donnent à penser, même si on n’est en rien d’accord avec elles. Ainsi le numéro 1139 de La Nouvelle Quinzaine...
Lire la suiteJ’ai déjà mentionné à deux reprises ce roman publié en autoédition (chez iggybook) par Gilles Pétel, avec qui j’ai partagé, il y a maintenant quelques années, un premier blog. Ménageant savamment mes effets, j’y reviens à présent pour en dire un peu plus…...
Lire la suiteÀ l’heure où j’écrivais cet article il était encore très possible qu’elle ait le Goncourt. Pour finir, elle n’a eu que le Médicis. Un prix, quoi qu’il en soit, à la fois significatif et paradoxal. Pour une part, bien dans l’air d’un temps étrangement...
Lire la suiteUn gros dysfonctionnement sur la plate-forme qui m’accueille a rendu inaccessibles pendant plusieurs jours les photos et les liens de ce blog. Je n’y suis pas pour grand-chose comme mes lecteurs s’en doutent, néanmoins qu’ils veuillent bien m’en excuser....
Lire la suiteDéjà dans On ne tue pas les gens (Flammarion, 2011), les lieux jouaient un rôle essentiel, au point qu'on aurait presque pu considérer comme le personnage principal du roman la petite ville bretonne qui lui servait de décor. Ici, tout se passe à Paris,...
Lire la suiteCe pourrait être un portrait-souvenir comme il y en a eu d'autres. Portrait d'un père et, à travers lui, d'une époque (la fin des célèbres trente glorieuses) comme d'une classe (la classe ouvrière) disparues. En tant que tel, le livre de Didier Castino...
Lire la suiteIl ne faut pas écouter Christine Angot, il faut la lire : négliger les niaiseries adolescentes dont sont tissées ses interviews et ne s’attacher qu’à ses livres. Dans ce domaine, qui seul importe, c’est une fois sur deux. Après l’impressionnant Une semaine...
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