Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
C’est « son onzième roman », dit la quatrième de couverture. Les dix ouvrages cités en tête de volume étaient donc tous des romans aussi ? En tout cas, N’être personne (Verticales, 2017), dont j’ai parlé il y a cinq ans (voir ici), n’en était déjà pas...
Lire la suiteOn est prié d’ admirer la performance. Celle de l’auteur, bien sûr. Celle de la traductrice, laquelle, si on lui avait laissé plus de temps pour cet énorme travail, aurait certainement éliminé les multiples fautes de français qui émaillent son texte…...
Lire la suiteComme je l’avais annoncé, mon nouveau roman, Faust à la plage (Vendémiaire), paraît aujourd’hui, jeudi 6 octobre. On devrait donc le trouver désormais dans toutes les bonnes librairies. Pour en savoir plus cliquez ici ou ici.
Lire la suiteDans une profession de foi qui mériterait d’être relue par un de leurs correcteurs, les éditions Sinope, jeune maison néanmoins sympathique et dynamique, annoncent, sur leur site, leur intention de « redonner de la valeur au texte lui-même ». Comment...
Lire la suiteOh, il pourrait compter 200 pages de moins, peut-être… Mais pas plus. Si les 600 pages du roman d’Antonio Soler peuvent sembler un peu excessives, une longueur minimale était nécessaire sauf à estomper ce qui fait sa force : l’excès, justement, ou, pour...
Lire la suiteJe l’avais annoncé dans un dernier article avant l'été : mon roman, Faust à la plage, paraîtra le 6 octobre. Il est publié par les éditions Vendémiaire. Pour donner aux lecteurs de ce blog une idée de son contenu, voici le texte qui figurera sur la quatrième...
Lire la suitePremière originalité par les temps qui courent : voilà un roman qui n’essaie pas d’être autre chose qu’un roman. Qu’on en juge… Elsa, jeune auteure qui, pour parler comme les professionnels de la chose, n’a pas encore vraiment trouvé son lectorat, est...
Lire la suiteAprès Bambois, la Survivance, les Hautes-Huttes…, bienvenue aux Bois-Bannis. Chez Sophie et Grieg (ex-Sils, puis Nils). Dans cette maison isolée, quelque part dans les Vosges, où tous deux se sont retirés, il y a une vieille ânesse et des livres. Lui...
Lire la suiteLe succès mène aux métamorphoses. On l’a vu avec le roman autobiographique, que l’engouement dont il a fait l’objet a démultiplié en autofiction, récit de vie, chronique familiale et autres journaux vrais ou faux. On le constate à présent avec le roman...
Lire la suiteDans Au cœur d’un été tout en or (1), dont je parlais il y a deux ans, un personnage formule l’impression, souvent éprouvée par le lecteur lui-même, qu’« il manque quelque chose ». Manque structurel, bien sûr, qui n’a rien d’un défaut, mais est le cœur...
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