Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Oh, il pourrait compter 200 pages de moins, peut-être… Mais pas plus. Si les 600 pages du roman d’Antonio Soler peuvent sembler un peu excessives, une longueur minimale était nécessaire sauf à estomper ce qui fait sa force : l’excès, justement, ou, pour...
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