Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Quatuor d’automne, Barbara Pym, traduit de l’anglais par Martine Béquié et Anne-Marie Augustyniak (Belfond [vintage])
En 1977, l’écrivaine britannique, après une longue éclipse, revenait sous les feux de la rampe avec ce roman drôle et désespéré, dans lequel elle fait montre d’une maestria éblouissante.
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Le Jardin céleste, Karel Shoeman, traduit de l’afrikaans par Pierre-Marie Finkelstein (Actes Sud)
Souvenirs d’un été lumineux dans un domaine de la campagne anglaise… Peu de temps avant sa mort, l’auteur sud-africain donnait ce chef-d’œuvre d’élégance mélancolique.
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L’Été jaune, Mahir Ünsal Eris, traduit du turc par Noémi Cingöz (La Reine Blanche)
Un voile de poussière sur une ville de Turquie, où des vies s’entrecroisent, pour finir en impasse… L’occasion de découvrir aussi le travail original d’une maison d’édition qui se consacre à la nouvelle.
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En salle, Claire Baglin (Minuit)
Dans ce premier roman, les souvenirs d’une enfance en milieu ouvrier alternent avec les instantanés d’une journée de travail au fast-food… Dire l’aliénation, sans pathos, en phrases sèches et rythmées.
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Un fils comme un autre, Eduardo Halfon, traduit de l’espagnol par David Fauquemberg (La Table ronde-Quai Voltaire)
Le thème de la paternité court d’une nouvelle à l’autre de ce recueil de l’écrivain guatémaltèque… pour nous emmener subtilement vers des parages inattendus – et terrifiants.
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Ordre de survivre, Julian Semenov, traduit du russe par Monique Slodzian (Éditions du Canoë)
Très célèbre jadis en Union soviétique, l’écrivain russe mort en 1993 inventa un héros-espion, qu’on trouve ici infiltré au plus haut de l’État nazi agonisant. Personnages historiques, triple et quadruple jeu, monde étouffant du totalitarisme… Le récit halluciné et saisissant d’un cataclysme.
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Le Professeur d’anglais, Mathieu Pieyre (Arléa)
Hommage à un enseignant des années 1970, « mort de la maladie d’amour propre à l’époque » suivante, ce premier roman croise le genre du tombeau et le roman d’éducation. Un brin surécrit, mais subtil.
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Dans les rêves, Delmore Schwartz, traduit de l’anglais par Daniel Bismuth (Rivages)
Encore des nouvelles, et un autre auteur culte. Il chanta le New York d’entre les deux guerres, la Grande Dépression, la génération perdue, dans une prose éblouissante et digne de Henry James.
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