Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Déperdition de la chaleur humaine, Bergsveinn Birgisson, traduit de l’islandais par Catherine Eyólfsson (Gaïa)
Sur les routes d’Islande, avec un narrateur en crise, un « ami dépressif » et son infirmière tyrannique : poésie et dinguerie du Nord.
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Le Roitelet, Jean-François Beauchemin (Québec Amérique)
L’écrivain, son frère schizophrène, les voisins, les animaux, les plantes… et beaucoup de beaux sentiments.
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Il n’y aura pas de sang versé, Maryline Desbiolles (Sabine Wespieser)
L’auteure de La Seiche raconte « la première grève des femmes », à Lyon, en 1869. Une écriture mouvante et sans cesse inventive, pour dire le refus de tous les enfermements.
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La Filature, Arnaud Sagnard (Stock)
La drôle d’histoire d’un chauffeur de bus qui ne veut surtout être personne, dans un Los Angeles déserté par tous les mythes.
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Le Passager, Cormac McCarthy, traduit de l’anglais par Serge Chauvin (L’Olivier)
À quatre-vingt-dix ans, l’auteur de La Route nous offre un livre singulier, qui ne prend les apparences du roman que pour mieux dire l’impossibilité de « saisir le monde ».
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Baba Yaga a pondu un œuf, Dubrovka Ugrešić, traduit du croate par Chloé Billon (Bourgois)
Dans un triptyque narratif savant et loufoque, l’écrivaine croate récemment disparue disait une Europe centrale livrée aux sortilèges de l’Histoire.
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Le Petit Roi, Mathieu Belezi (Le Tripode)
Retour sur une œuvre trop mal connue… Dans son premier roman, Mathieu Belezi racontait une enfance solitaire et révoltée, en pleine campagne, face au mystère indifférent des choses.
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