Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Braconnages, Reinhard Kaiser-Mühlecker, traduit de l’allemand par Olivier Le Lay (Gallimard)
Apparemment, l’ascension d’un jeune fermier autrichien dont l’exploitation connaît le succès grâce à son mariage… Mais la violence et le mal sont là, tout proches, et finiront par se manifester. Un sombre et grand récit.
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En un souffle, Daniel Argelès (Triartis)
Cinq nouvelles allemandes, où l’auteur narre la rencontre entre des destins individuels et les métamorphoses d’un pays qu’il connaît bien. Le temps a ses flux et reflux, on n’en a jamais fini avec l’Histoire…
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Je ne suis pas un héros, Eric Ambler, traduit de l’anglais par Simone Lechevrel et Patricia Duez (L’Olivier)
L’Olivier poursuit sa réédition des œuvres d’un des fondateurs du roman d’espionnage moderne, avec ce livre paru en 1938. Dans l’Italie mussolinienne, un ingénieur naïf découvre le monde des ombres et les périls qui menacent l’Europe. On est embarqué.
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Mykonos, Olga Duhamel-Noyer (Héliotrope)
Dans ce court roman, sec et froid, l’écrivaine canadienne peint le désir, la jeunesse, le charme des apparences et la brutalité du réel.
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Motl en Amérique, Sholem-Aleikhem, traduit du yiddish par Nadia Déan-Rotschild et Evelyne Grumberg (L’Antilope)
La suite des aventures de Motl fils de chantre… L’enfant-narrateur et sa pittoresque famille découvrent un monde nouveau. L’humour et l’inventivité linguistique sont à leur comble dans ce dernier roman du grand écrivain de langue yiddish.
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Un fantôme dans la gorge, Doireann Ní Ghríofa, traduit de l’anglais par Élisabeth Peelaert (Globe)
La poétesse irlandaise va et vient entre sa passion de la maternité et sa fascination pour une femme du XVIIIe siècle auteure d’un fameux chant funèbre. Il en résulte un texte cru, dru et lyrique, d’une impressionnante vitalité.
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Les Obsessions bourgeoises, Madeleine Meteyer (J.-C. Lattès)
Issue d’un milieu raisonnablement favorisé, la jeune Servane découvre la haute bourgeoisie parisienne, ses tics, ses codes… La passion des apparences et les aléas du désir mimétique, décrits avec précision, férocité – et un soupçon de complaisance.
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