Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Le Festin, Margaret Kennedy, traduit de l’anglais par Denise Van Moppès (Quai Voltaire)
Une falaise s’effondre en Cornouailles. Certains sont ensevelis, d’autres sauvés. Margaret Kennedy, moraliste sans illusion, et portraitiste grinçante de l’Angleterre des années 1950…
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La Stupeur, Aharon Appelfeld, traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti (L’Olivier)
Dans son dernier roman, le grand écrivain israélien récemment disparu évoque une Bucovine étrange où coexistent la violence extrême et la grâce.
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Les Yeux de travers, Guillaume Collet (Les Avrils)
Un homme arpente une ville, d’un petit boulot à l’autre. Ce premier roman dit la violence sociale à travers les sensations et par la syntaxe.
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Les Silences d’Ogliano, Elena Piacentini (Actes Sud)
Dans un pays méditerranéen trop imprécis pour qu’on y croie, deux jeunes gens vivent des aventures qui ressemblent à celles des héros de la collection « Signe de piste »…
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Motl fils du chantre, Sholem-Aleikhem, traduit du yiddish par Nadia Déhan-Rotschild et Evelyne Grumberg (L’Antilope)
Pour les juifs ukrainiens qui rêvent de l’Amérique, le monde, en 1907, est bien dur. Mais le petit Motl raconte le malheur avec une verve désopilante et un talent étourdissant.
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Cabane, Millie Duyé (Le Nouvel Attila)
Une fille construit des cabanes, au propre puis au figuré. Ce faisant, elle devient une femme. Un premier roman moderne et poétique.
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Le Cœur d’un père, Josselin Guillois (Seuil)
Le fils de Rembrandt parle, et raconte la vie près de son père, dans l’Amsterdam du siècle d’or. Un singulier roman d’éducation.
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