Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Cherche David éperdument, Paule Darmon (L’Antilope)
Dans un récit qui mêle les lieux, les époques, les visages divers du judaïsme, l’auteure de Robert de Niro, le Mossad et moi lie astucieusement le thème de l’identité à une réflexion sur le romanesque.
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Melody, Martin Suter, traduit de l’allemand par Olivier Mannoni (Phébus)
Dans cette étrange histoire de fiancée disparue, qui dit vrai ? qui invente ? qui manipule qui ? Mystère, enquête, gastronomie italienne, l’écrivain suisse trousse une fable malicieuse en forme de roman troublant.
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L’Homme qui vivait sous terre, Richard Wright, traduit de l’anglais par Nathalie Azoulai (Bourgois)
Réfugié dans les égoûts pour fuir une police raciste, un jeune Noir découvre le vrai visage du monde. Ce roman du grand écrivain afro-américain, refusé par son éditeur en 1942 et enfin traduit, était un chef-d’œuvre.
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L’Éclat de rire, Sylvie Schenk, traduit de l’allemand par Olivier Le Lay (Gallimard)
Une écrivaine, franco-allemande comme Sylvie Schenk, est longuement interviewée à propos d’un roman d’amour inspiré de sa propre histoire. Vertiges, second degré, jeux de miroir… Un texte étourdissant de drôlerie et d’astuce.
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Le Masque de Dimitrios, Eric Ambler, traduit de l’anglais par Gabriel Veraldi et Patricia Duez (L’Olivier)
Les éditions de l’Olivier ont entrepris de nous faire redécouvrir l’œuvre d’un des inventeurs du roman d’espionnage contemporain. Première réédition avec cette enquête-poursuite à travers l’Europe des années 1930, où l’enquêteur lui-même est romancier.
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Ceci est mon corps, Claire Huynen (Arléa)
Hélène, jadis Hervé, veut entrer au couvent… Une interrogation vertigineuse en partie masquée par des enjolivures.
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Jeunesse, Tove Ditlevsen, traduit du danois par Christine Berlioz et Laila Flink Thullesen (Globe)
Le deuxième tome de la trilogie autobiographique d’une grande écrivaine danoise. Lucidité, humour, violence et lumière.
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Le Mariage, Dorothy West, traduit de l’anglais par Arlette Stroumza (Belfond [vintage])
Dans ce roman commencé en 1940 mais publié en 1996, la romancière afro-américaine mettait la satire sociale au service d’une réflexion brillante et caustique sur la question de savoir ce qu’être « de couleur » veut dire.
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