Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Alice et les autres, Vinciane Moeschler (Mercure de France)
L’auteure met en scène « le trouble dissociatif de l’identité », dans un roman habilement déstructuré mais qui n’échappe ni aux trivialités ni aux clichés.
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Aragon polémiste, Revue des Sciences humaines, n° 343 (Presses universitaires du Septentrion)
Objet de polémiques, expert lui-même dans « l’escrime d’écrire », celui qui signa parfois « François La Colère » ne négligea aucune occasion de croiser le fer, dans quelque genre littéraire que ce soit. Et, avant tout, avec lui-même.
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Avant de s’en aller, Saul Bellow, une conversation avec Norman Manea, traduit de l’anglais et du roumain par Marie-France Courriol et Florica Courriol (La Baconnière)
Dans cet entretien avec l’écrivain roumain Norman Manea, le Prix Nobel 1976 évoquait sa famille venue de Russie, son enfance, sa carrière, ses multiples rencontres, son rapport au judaïsme… Et il parlait de littérature.
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Le roi reçoit, Eduardo Mendoza, traduit de l’espagnol par Delphine Valentin (Seuil)
Dans un faux roman picaresque, l’écrivain espagnol conte brillamment une jeunesse et une époque placées sous le signe de la déception.
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Le Dévoué, Viet Thanh Nguyen, traduit de l’anglais par Clément Baude (Belfond)
Le héros du Sympathisant est de retour. Cette fois, c’est à Paris qu’entre coups de pistolet, trafic de drogue et autres aventures drolatiques il traîne son malheur d’agent définitivement double.
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L’Origine du mal, José Carlos Somoza, traduit de l’espagnol par Marianne Million (Actes Sud)
Dans ce roman plein de chausse-trappes et de mises en abyme, le plus passionnant est peut-être le moins brillant : la vie morne d’un espion franquiste dans un Maroc qui tient du Désert des Tartares.
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Les Papillons de Nabokov, le boomerang de Gracq, Thierry Le Rolland (Arléa)
Les grands écrivains consacraient parfois autant de temps à leurs manies qu’à leurs œuvres. Collections, machines, idées fixes… un recueil d’anecdotes qui en dit long, mine de rien, sur la littérature.
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Conte d’un nigoun, Elie Wiesel, traduit de l’anglais par Carine Chichereau (Seuil)
Un récit inédit, illustré en fraîches couleurs, qui fait rayonner un message de foi dans la nuit du ghetto.
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