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    Mes livres des mois d’août et septembreGhost Town, Kevin Chen, traduit du chinois par Emmanuelle Péchenart (Seuil)

    La saga d’une famille taïwanaise, une thriller historique et politique, l’histoire d’une relation amoureuse… le tout dans un roman plein de sensualité et d’une poésie hypnotique.

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    Mes livres des mois d’août et septembreLe Château des Rentiers, Agnès Desarthe (L’Olivier)

    Dans ce texte qui tient autant de l’essai tel que le concevait Montaigne que du récit, Agnès Desarthe esquisse une méditation subtile sur la mort, la vieillesse et le temps.

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    Mes livres des mois d’août et septembreLes Ondes, Isabelle Dangy (Le Passage)

    Sidonie part à la recherche de ses origines… Humour, clins d’œil et poésie du quotidien, dans un roman où les thèmes se croisent et se mêlent selon le principe ondulatoire annoncé par le titre.

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    Mes livres des mois d’août et septembreLe Taureau de La Havane, Louis-Ferdinand Despreez (Éditions du Canoë)

    Les aventures du taureau Fidelito, envoyé au Laos reconstituer le cheptel cubain… Nous sommes en 1991, et le mystérieux auteur sud-africain mais francophone réussit une farce tropicale et loufoque qui flirte avec le conte philosophique.

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    Mes livres des mois d’août et septembreHors saison, Basile Mulciba (Gallimard)

    Le premier roman d’un jeune auteur qui connaît ses classiques – et sait faire exister une intrigue bâtie sur le vide, l’attente, et l’esprit des lieux.

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    Mes livres des mois d’août et septembreL’Étrange Journée de Raoul Sévilla, Jean-Pierre Gattégno (L’Antilope)

    Un adolescent juif des années 1960 erre dans Paris. Son parcours subtilement initiatique fait de lui, à la fin de la journée, un jeune homme prêt à vivre et un écrivain en devenir.

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    Mes livres des mois d’août et septembreTrust, Hernan Diaz, traduit de l’anglais par Nicolas Richard (L’Olivier)

    Ce roman brillant et vertigineux, prix Pulitzer 2023, prend les jeux pervers du capitalisme aux pièges de la littérature.

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    Mes livres des mois d’août et septembreCopeaux de bois, Anouk Lejczyk (Éditions du Panseur)

    La jeune auteure raconte une année de formation en bûcheronnage. En prose coupée, et sans réussir à faire du langage quotidien plus que ce qu’il est…

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    Mes livres des mois d’août et septembreLe Bonnet rouge, Daniel de Roulet (Héros-Limite)

    En prose coupée aussi, l’écrivain suisse retrace l’épopée du régiment de Châteauvieux et de ses mutins, sur fond de Révolution française et de préromantisme.

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    Mes livres des mois d’août et septembreLa Vie Nouvelle, Tom Crewe, traduit de l’anglais par Étienne Gomez (Christian Bourgois)

    Inspiré par la vie de Havelock Ellis, fondateur de la sexologie, et de John Addington Symonds, un brillant premier roman qui parle du corps, dans la société victorienne et dans toutes les autres.

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    Mes livres des mois d’août et septembreCeux qui ne meurent jamais, Dana Grigorcea, traduit de l’allemand par Élisabeth Landes (Les Argonautes)

    Dracula revient, dans une Roumanie d’aujourd’hui qui n’a rien pour lui plaire… Humour, fantastique, politique – et une belle réflexion sur le temps de l’Histoire.

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    Mes livres du mois de maiLe Maître des horloges, Jacques Fortier (Le Verger)

    Dans le Strasbourg des années 1930, le détective Jules Meyer traque les ravisseurs du comput, élément clé de la célèbre horloge astronomique… À la poursuite d’un morceau de temps perdu, sur fond d’humour, de suspense et de grande Histoire.

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    Mes livres du mois de maiBestiaire, Alexandre Vialatte et Honoré (Arléa)

    Le marabout « dépasse la zoologie », le loup est « une exigence du paysage », l’homme « est plus tragique que sérieux »… Tous les textes du célèbre Auvergnat sur les animaux de toute sorte, illustrés par le regretté dessinateur de Charlie-Hebdo dans un surcroît de malice visuelle.

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    Mes livres du mois de maiDette d’oxygène, Toine Heijmans, traduit du néerlandais par Françoise Antoine (Belfond)

    Un roman de montagne, un ouvrage documentaire sur la vie des grimpeurs, une histoire de l’alpinisme… L’auteur néerlandais peine à escalader par ses trois faces un livre où de belles pistes s’esquissent, qu’on aurait aimé pouvoir suivre jusqu’au bout.

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    Mes livres du mois de maiBacon, juillet 1964, Gilles Sebhan (Le Rouergue)

    L’auteur de Mandelbaum ou le rêve d’Auschwitz parcourt plan par plan le curieux film consacré par Pierre Koralnik au grand peintre anglais. Et redessine brillamment le cercle dans lequel celui-ci travaille à enfermer la réalité pour en faire surgir le vrai.

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    Mes livres du mois de maiLe Trou, Hiroko Oyamada, traduit du japonais par Silvain Chupin (Bourgois)

    Livrée au désœuvrement au fin fond de la campagne japonaise, Asahi tombe dans un trou et se retrouve dans l’envers inquiétant de la réalité. L’auteure de L’Usine poursuit sa subtile et dérangeante réflexion sur l’individu moderne en proie au travail.

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    Mes livres du mois de maiRimbaud et la veuve, Edgardo Franzosini, traduit de l’italien par Philippe Di Meo (La Baconnière)

    En 1875, Rimbaud rencontra peut-être à Milan une mystérieuse veuve… De ce détail infime et presque hypothétique, l’écrivain italien tire un livre retors et malicieux, dans lequel il poursuit son entreprise de déconstruction du biographique.

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    Mes livres du mois de maiFrançois Truffaut en 24 images/seconde, Anne Terral (Médiapop éditions)

    Vingt-quatre séquences de la vie rêvée de Truffaut ou du cinéma où il la mettait en fiction… Un bel exercice d’admiration et de style.

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    Mes livres du mois de maiUn garçon ordinaire, Joseph d’Anvers (Rivages)

    Le chanteur-romancier français raconte une adolescence qui ressemble à la sienne… et à toutes les autres. En reprenant à son compte les naïvetés de l’âge mais aussi ses mélancolies.

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    Mes livres du mois de maiDivorce à l’anglaise, Margaret Kennedy, traduit de l’anglais par Adrienne Terrier et Anne-Sylvie Homassel (La Table ronde/Quai Voltaire)

    La séparation de Betsy et d’Alec affecte toute leur famille… Dans ce roman antérieur d’une quinzaine d’années au célèbre Festin, l’écrivaine anglaise déployait déjà toute sa subtilité, sa grâce, son humour nostalgique.

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    Mes livres du mois de maiDanser sur des débris, Chris Kraus, traduit de l’allemand par Rose Labourie (Belfond)

    L’histoire délirante d’une famille disjonctée, que hante le souvenir de son passé nazi. Chris Kraus, déjà au mieux de sa forme, esquissait dans ce premier roman les thèmes développés plus tard dans La Fabrique des salauds et dans Baiser ou faire des films.

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    Mes livres du mois d’avrilMonument Valley, Pascal Chapus (Arléa)

    Un paysage écrasant, un motel perdu dans le désert, un deuil mystérieux… Un premier roman minimaliste et nostalgique.

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    Mes livres du mois d’avrilBolla, Rajtim Statovci, traduit du finnois par Claire Saint-Germain (Les Argonautes)

    Arsim et Miloš, l’Albanais du Kosovo et le Serbe, pris entre l’amour impossible et la guerre… Une écriture sèche et frénétique qui convient aux violences de l’époque.

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    Mes livres du mois d’avrilLe Mot pour dire rouge, Jon McGregor, traduit de l’anglais par Christine Laferrière (Bourgois)

    Le roman de l’écrivain britannique commence comme un récit d’aventures, continue comme une histoire de résilience, mais mène surtout une belle et subtile méditation sur le langage.

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    Mes livres du mois d’avrilLes Gardiens de la maison, Shirley Ann Grau, traduit de l’anglais par Colette-Marie Huet (Belfond [vintage])

    L’auteure américaine eut le prix Pulitzer en 1965 pour ce roman digne des plus grands écrivains du sud des États-Unis. Vaste demeure, secrets de famille, vengeances… et la splendide nature.

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    Mes livres du mois d’avrilLe Parc aux roseaux, Thuân, traduit du vietnamien par Yves Bouillé (Actes Sud)

    Comme l’auteure, la jeune héroïne flotte entre deux univers, hésite entre Paris et son Vietnam natal, et sa mélancolie parle d’un dépaysement universel.

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    Mes livres du mois d’avrilLa Rédactrice, Michèle Cohen (Les Éditions du Panseur)

    De la Tunisie à Paris, du lycée à la radio et à la pub, toute une vie vue sous l’angle de l’écriture (et de l’humour).

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    Le Vert Paradis et autres écrits, Victoria Ocampo (Vendémiaire)

    La plupart des textes écrits en français par l’écrivaine et éditrice argentine disparue en 1979. Elle y parle de son enfance, de ses premières lectures, de Lawrence d’Arabie, de Proust, des palmiers… d’un temps où la littérature était « une aventure mémorable ».

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    Mes livres du mois d’avrilRombo, Esther Kinsky, traduit de l’allemand par Olivier Le Lay (Bourgois)

    Le troisième livre traduit de l’auteure de La Rivière raconte le tremblement de terre de 1976 tel que l’ont vécu les habitants d’un petit village du Frioul. Elle y confirme qu’elle est une grande écrivaine des lieux et de la mémoire.

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    Mes livres du mois d’avrilMaud Martha, Gwendolyn Brooks, traduit de l’anglais par Sabine Huynh (Globe)

    La poétesse afro-américaine racontait dans cet unique roman, paru en 1953 et enfin traduit, la difficulté d’exister comme femme et comme Noire dans les États-Unis d’alors. Sans discours, par la grâce d’une écriture ironique et poétique.

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    Mes livres du mois de marsDéperdition de la chaleur humaine, Bergsveinn Birgisson, traduit de l’islandais par Catherine Eyólfsson (Gaïa)

    Sur les routes d’Islande, avec un narrateur en crise, un « ami dépressif » et son infirmière tyrannique : poésie et dinguerie du Nord.

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    Mes livres du mois de marsLe Roitelet, Jean-François Beauchemin (Québec Amérique)

    L’écrivain, son frère schizophrène, les voisins, les animaux, les plantes… et beaucoup de beaux sentiments.

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    Mes livres du mois de marsIl n’y aura pas de sang versé, Maryline Desbiolles (Sabine Wespieser)

    L’auteure de La Seiche raconte « la première grève des femmes », à Lyon, en 1869. Une écriture mouvante et sans cesse inventive, pour dire le refus de tous les enfermements.

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    LMes livres du mois de marsa Filature, Arnaud Sagnard (Stock)

    La drôle d’histoire d’un chauffeur de bus qui ne veut surtout être personne, dans un Los Angeles déserté par tous les mythes.

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    Mes livres du mois de marsLe Passager, Cormac McCarthy, traduit de l’anglais par Serge Chauvin (L’Olivier)

    À quatre-vingt-dix ans, l’auteur de La Route nous offre un livre singulier, qui ne prend les apparences du roman que pour mieux dire l’impossibilité de « saisir le monde ».

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    Mes livres du mois de marsBaba Yaga a pondu un œuf, Dubrovka Ugrešić, traduit du croate par Chloé Billon (Bourgois)

    Dans un triptyque narratif savant et loufoque, l’écrivaine croate récemment disparue disait une Europe centrale livrée aux sortilèges de l’Histoire.

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    Mes livres du mois de marsLe Petit Roi, Mathieu Belezi (Le Tripode)

    Retour sur une œuvre trop mal connue… Dans son premier roman, Mathieu Belezi racontait une enfance solitaire et révoltée, en pleine campagne, face au mystère indifférent des choses.

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    Mes livres du mois de févrierMes désirs futiles, Bernardo Zannoni, traduit de l’italien par Romane Lafore (La Table ronde/Quai Voltaire)

    En prenant pour héros des animaux, cet impressionnant premier roman d’un très jeune auteur installe la différence au cœur du même.

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    Mes livres du mois de févrierVincent Van Gogh, l’éternel sous l’éphémère, Stéphane Lambert (Arléa)

    Stéphane Lambert continue de marcher sur les traces des grands peintres. D’une toile de Van Gogh à l’autre, on suit et on partage la quête d’un impossible accord avec le monde.

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    Mes livres du mois de févrierNein, nein, nein ! Jerry Stahl, traduit de l’anglais par Morgane Saysana (Rivages)

    Dans la tradition du gonzo-journalisme, l’auteur américain raconte un voyage organisé dans les camps de la mort. Énorme, mais vertigineux.

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    Mes livres du mois de févrierÀ prendre ou à laisser, Lionel Shriver, traduit de l’anglais par Catherine Gibert (Belfond)

    Sur le mode jubilatoire et provocateur qui la caractérise, Lionel Shriver explore toutes les possibilités en matière de fin de vie. Paradoxalement roboratif.

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    Mes livres du mois de févrierBambine, Alice Ceresa, traduit de l’italien par Adrien Pasquali et Renato Weber (La Baconnière)

    En 1990, l’écrivaine suisse peignait la famille et l’enfance avec un détachement pseudo-scientifique du plus haut comique, qui décrypte mieux qu’un long discours le processus de l’aliénation.

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    Mes livres du mois de févrierLe Numéro un, Mikhaël Chevelev, traduit du russe par Christine Zeytounian-Beloüs (Gallimard)

    Le journaliste russe imagine une fiction labyrinthique pour décrire le filet où la société de son pays est prise.

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    … sans oublier…

    Mes livres du mois de févrierLes Moments littéraires n°49, consacré aux diaristes libanais

    Pourtant n°5, nouvelles et photos sur le thème du mensonge,Mes livres du mois de février

    voir ici

     

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