Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Ghost Town, Kevin Chen, traduit du chinois par Emmanuelle Péchenart (Seuil)
La saga d’une famille taïwanaise, une thriller historique et politique, l’histoire d’une relation amoureuse… le tout dans un roman plein de sensualité et d’une poésie hypnotique.
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Le Château des Rentiers, Agnès Desarthe (L’Olivier)
Dans ce texte qui tient autant de l’essai tel que le concevait Montaigne que du récit, Agnès Desarthe esquisse une méditation subtile sur la mort, la vieillesse et le temps.
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Les Ondes, Isabelle Dangy (Le Passage)
Sidonie part à la recherche de ses origines… Humour, clins d’œil et poésie du quotidien, dans un roman où les thèmes se croisent et se mêlent selon le principe ondulatoire annoncé par le titre.
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Le Taureau de La Havane, Louis-Ferdinand Despreez (Éditions du Canoë)
Les aventures du taureau Fidelito, envoyé au Laos reconstituer le cheptel cubain… Nous sommes en 1991, et le mystérieux auteur sud-africain mais francophone réussit une farce tropicale et loufoque qui flirte avec le conte philosophique.
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Hors saison, Basile Mulciba (Gallimard)
Le premier roman d’un jeune auteur qui connaît ses classiques – et sait faire exister une intrigue bâtie sur le vide, l’attente, et l’esprit des lieux.
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L’Étrange Journée de Raoul Sévilla, Jean-Pierre Gattégno (L’Antilope)
Un adolescent juif des années 1960 erre dans Paris. Son parcours subtilement initiatique fait de lui, à la fin de la journée, un jeune homme prêt à vivre et un écrivain en devenir.
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Trust, Hernan Diaz, traduit de l’anglais par Nicolas Richard (L’Olivier)
Ce roman brillant et vertigineux, prix Pulitzer 2023, prend les jeux pervers du capitalisme aux pièges de la littérature.
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Copeaux de bois, Anouk Lejczyk (Éditions du Panseur)
La jeune auteure raconte une année de formation en bûcheronnage. En prose coupée, et sans réussir à faire du langage quotidien plus que ce qu’il est…
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Le Bonnet rouge, Daniel de Roulet (Héros-Limite)
En prose coupée aussi, l’écrivain suisse retrace l’épopée du régiment de Châteauvieux et de ses mutins, sur fond de Révolution française et de préromantisme.
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La Vie Nouvelle, Tom Crewe, traduit de l’anglais par Étienne Gomez (Christian Bourgois)
Inspiré par la vie de Havelock Ellis, fondateur de la sexologie, et de John Addington Symonds, un brillant premier roman qui parle du corps, dans la société victorienne et dans toutes les autres.
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Ceux qui ne meurent jamais, Dana Grigorcea, traduit de l’allemand par Élisabeth Landes (Les Argonautes)
Dracula revient, dans une Roumanie d’aujourd’hui qui n’a rien pour lui plaire… Humour, fantastique, politique – et une belle réflexion sur le temps de l’Histoire.
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