Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Ça commence par un coup de vent. « Le vent glacé de novembre balay[e] la 116e rue ». Il soulève les vieux papiers et les os de poulet, s'attaque aux hommes, les fait jurer et « les étrangl[e] avec leur écharpe »… La longue description qui ouvre le roman...
Lire la suiteJe ne le connaissais pas. C’est un fidèle lecteur et soutien de ce blog, auteur lui-même, qui m’a fait découvrir Vitaliano Trevisan, et le roman qui l’a, comme on dit, révélé, en 2002. Et c’est vrai que ce roman mérite d’être lu. Une curiosité, et de...
Lire la suiteL’année des 12-13 ans, c’est l’année critique. Sorti de l’enfance, on n’a pas encore complètement basculé dans cet âge, lui-même indécis, pour lequel on sait mon intérêt : l’adolescence. En tout cas, c’était à ce moment-là que tout changeait à l’époque...
Lire la suiteJérémie Lefebvre a l’imaginaire sociologique. On le sait depuis La Société de consolation (Sens & Tonka, 2000), plongée désopilante dans le monde de l’entreprise. Et ça s’est confirmé avec Le Collège de Buchy (Lunatique, 2012), peinture au vitriol de...
Lire la suiteRappelons les faits… Apollonie Sabatier (1822-1890) fréquentait l’hôtel Pimodan, dans l’île Saint-Louis, où elle connut, entre autres, Baudelaire et Gautier. Plus tard, elle tint, rue Frochot, un salon fort connu, où affluait le gratin des lettres et...
Lire la suiteEn janvier 2012 paraissait On ne tue pas les gens, d'Alain Defossé,également grand traducteur, disparu en 2017 (voir ici). Le roman disait les charmes d'une campagne morose. Le récit d'un fait divers y servait de prétexte à la mélancolie des désirs inaboutis...
Lire la suiteEn octobre 2011, j’étais ravi par Le Ravissement de Britney Spears, de Jean Rolin, magnifique roman sur le regard, qui hypnotise par les mots. Pour lire mon article d’alors, cliquez ICI.
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