Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
En janvier 2012 paraissait On ne tue pas les gens, d'Alain Defossé,également grand traducteur, disparu en 2017 (voir ici). Le roman disait les charmes d'une campagne morose. Le récit d'un fait divers y servait de prétexte à la mélancolie des désirs inaboutis...
Lire la suiteLes tristes nouvelles se succèdent… À peine plus d’un mois après la mort de Christiane Tricoit, je viens d’apprendre celle d’Alain Defossé. Notre dernier échange avait eu pour thème sa traduction du roman de Sarah Waters Derrière la porte — il m’avait...
Lire la suiteC’est le premier livre d’elle que je lis. Je m’étais fait de l’auteure galloise l’image d’une sorte d’ « icône lgbt » — une amie anglaise s’était même étonnée de la voir publiée en France dans des collections destinées au grand public. Honte à moi, je...
Lire la suiteUn gros dysfonctionnement sur la plate-forme qui m’accueille a rendu inaccessibles pendant plusieurs jours les photos et les liens de ce blog. Je n’y suis pas pour grand-chose comme mes lecteurs s’en doutent, néanmoins qu’ils veuillent bien m’en excuser....
Lire la suiteDéjà dans On ne tue pas les gens (Flammarion, 2011), les lieux jouaient un rôle essentiel, au point qu'on aurait presque pu considérer comme le personnage principal du roman la petite ville bretonne qui lui servait de décor. Ici, tout se passe à Paris,...
Lire la suiteLes livres dont je parle ou dont je vais parler sont à l’honneur… Après le silence , de Didier Castino (Liana Levi) figure dans la première sélection du Prix du style. Effraction, roman d’Alain Defossé (Flammarion) dont je vous entretiendrai sous peu,...
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