Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
10, villa Gagliardini, Marie Sizun (Arléa)
Marie Sizun raconte son enfance et sa mère en racontant l’appartement qui les abrita. La simplicité et la grâce.
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En vérité, Alice, Tiffany Tavernier (Sabine Wespieser)
Entre la relation d’emprise qui la lie à son compagnon et son travail dans le cadre du « promotorat de la cause des saints », Alice cherche sa vérité et la vérité. Métaphysique et dérangeant.
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Un espion en Canaan, David Park, traduit de l’anglais par Cécile Arnaud (La Table ronde-Quai Voltaire)
Mickey, ancien de la CIA, écrit le récit tardif d’une éducation qui commence à Saïgon en 1973 et se termine de nos jours dans le désert du Nouveau-Mexique. Une nouvelle descente au cœur des ténèbres.
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Qui-vive, Valérie Zenatti (L’Olivier)
Devenue étrangère à notre monde bouleversé, Mathilde, en quête de sens, prend l’avion pour Israël. La grande traductrice d’Aharon Appenfeld raconte l’histoire d’une renaissance dans un pays en proie au doute.
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Le Fantôme de Suzuko, Vincent Brault (Héliotrope)
Vincent, double de l’auteur montréalais, revient à Tokyo pour y chercher le souvenir d’une amie morte. Érotisme de l’absence et de la ville.
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Dans la maison de mon père, Joseph O’Connor, traduit de l’anglais par Carine Chichereau (Rivages)
L’écrivain irlandais s’inspire de la vie de Hugh O’Flaherty, prêtre du Vatican et héros de la Résistance. Passages secrets, périls, Rome la nuit, la Gestapo veille…
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