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Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...

Automne tardif

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Cette année, les prix littéraires ne se suivent ni ne se ressemblent. Le Goncourt et le Renaudot ont fini par nous arriver. Le premier, on le voyait venir : l’éblouissante et si efficace machine d’Hervé Le Tellier, L’Anomalie (voir ici), ne pouvait rester sans récompense. Roman captivant, brillant, drôle. Un peu trop tout cela, peut-être, mais tant de savoir-faire valait au moins un prix.

 

www.reseau-canope.fr

 

L’autre prix, le Renaudot, échoit à Marie-Hélène Lafon pour Histoire du fils (voir ici). Voilà récompensée une réputation, construite patiemment, au fil des ans, de livre en livre. La patience, la ténacité, c’est quelque chose… Il y avait sûrement un prix pour ça, jadis, dans les écoles de la République.

 

P. A.

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G
Je suis peut-être trop susceptible quand des auteurs et autrices que j'aime et dont j'aime beaucoup l'écriture sont concernés mais je trouve la fin de votre article sur le prix accordé à MH Lafon très méchante dans son ironie-même. Nous savions que vous n'aviez pas aimé Histoire du fils, cela suffisait peut-être....Véronique Garrigou
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