Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Les lauriers sont coupés. En tout cas, presque tous. On peut donc tirer un premier bilan de la récolte.
Un peu d’autosatisfaction ne nuit pas, au seuil de l’hiver : pour la première fois, je crois, depuis l’existence de ce blog, sur toutes les sélections des prix littéraires les plus importants figuraient cette année des livres que j’avais vantés et défendus.
Certes, Amélie Nothomb n’a pas eu le Goncourt pour Soif (Albin Michel). Pourquoi tu danses quand tu marches ? (JC Lattès), d’Abdourahman A. Waberi, n’a pas eu le Renaudot. Ni Dominique Barbéris (Un dimanche à Ville-d'Avray, Arléa) ni Michaël Ferrier (Scrabble, Le Mercure de France) n’ont vu leurs ouvrages couronnés par le Femina.
Mais il y a aussi de bonnes nouvelles : Emmanuelle Lambert a reçu le Femina essais pour son bel essai Giono, furioso (Stock).
Et Claudie Hunzinger s’est vu attribuer le prix Décembre pour Les Grands Cerfs (Grasset).
Par ailleurs, il reste l’Interallié, toujours après les autres. Le 14 novembre, François Armanet peut encore l’avoir, pour Les Minets (Stock).
Pour relire mes articles sur ces romans, qui, tous, auraient mérité d’être récompensés, cliquez sur leurs titres. Félicitons les auteurs, primés ou non, ainsi que les lecteurs, qui les lisent ou vont les lire.
P. A.