Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Simon Liberati aime les années 1960-70 et les grands hommes. Y compris quand ce sont des femmes — Jayne Mansfield 1967 (Grasset, 2011). Il combine ces goûts avec un certain penchant sado-bataillesque pour les bas-fonds, comme cela apparaissait dans l’excellent...
Lire la suite