Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
S’il n’avait pas déjà utilisé ce titre (Actes Sud, 2004), Andreï Guelassimov aurait pu intituler son roman La Soif. On est en effet impressionné par la quantité de boissons variées que Filippov, le héros, absorbe en 300 pages — sa préférence allant cependant...
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