Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Au mois de mai prochain, il y aura cinquante ans qu’Alexandre Vialatte quittait ce monde. C’est donc, peut-être, l’année rêvée pour lire ou pour relire les œuvres de l’Auvergnat, né en 1901, qui traduisit et fit connaître Kafka en France avant de s’illustrer lui-même par des romans et par d’innombrables chroniques, au ton unique et à l’écriture singulière.
Pour plus de détails, on peut commencer par parcourir les articles que je lui ai consacrés, au fil des années, sur ce blog :
Voir aussi mon article sur son mentor, Henri Pourrat, et sur la lecture qu’il en fit :