Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Tout vient de son prénom, de cet aristocratique et proustien Oriane accolé à un nom de famille qu’elle considérait comme « désespérément petit-bourgeois ». « Un nom d’objet », ajoutait-elle. « Et même pas. Si encore je m’étais franchement appelée Tabouret…...
Lire la suiteJ’ai déjà maintes fois fait l’éloge de l’excellente collection [Vintage], chez Belfond (voir par exemple ici ou là). Au mois de novembre, elle a inscrit à son catalogue la réédition d’un roman d’Erskine Caldwell paru en 1951 (et, pour la traduction française,...
Lire la suiteÀ chacun ses faiblesses : j'aime les années 1950. De loin, s'entend… Pour rien au monde je ne voudrais m'y trouver transporté par quelque sortilège. Mais je goûte volontiers, à l'occasion, le charme rétro de ces années qui me ramènent à mes toutes premières...
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