Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
« Malika, c’est ma mère », écrit Abdellah Taïa en quatrième de couverture. Une telle déclaration annonce, au-delà de la réalité biographique éventuelle, un texte en forme de portrait mais aussi l’histoire d’une vie — et, ici, d’un pays, le Maroc, entre...
Lire la suiteImaginons qu’il y ait vraiment des écrivains de la vision et des écrivains de la voix. Si une telle distinction, fabriquée à l’emporte-pièce et qui trouverait vite ses limites, pouvait tenir, Abdellah Taïa appartiendrait sans conteste à la seconde catégorie....
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