-
Paroles d'écrivains
« Bastien habite une maison seule au bout d’un terrain vague. Il a planté des cyprès pour se cacher la vue du cimetière. "Pourvu que je ne voie pas les fleurs, dit-il, les croix cela s'oublie". »
Joé Bousquet, Le Médisant par bonté
Tags : Paroles d'écrivains, Joë Bousquet, Le Médisant par bonté
-
Commentaires
Oui mais à chacun sa croix quand même, non ?
Pourvu qu'on ne voie pas les fleurs...