Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
À travers l’alternance de journées caniculaires et de frimas qu’il faut désormais se résoudre à appeler printemps, l’été approche. Soyons optimiste et imaginons-le tel qu’il devrait être : voué aux longues siestes dans les chambres où des rais de soleil...
Lire la suiteDans sa collection [vintage], souvent évoquée ici, Belfond continue d’exhumer des romans parus une première fois dans les années 1950 ou 1960. Parmi eux, certains chefs-d’œuvre trop mal connus (comme Le Pouvoir du chien, de Thomas Savage, ou Le Fidèle...
Lire la suiteL’une est anglaise et a été une des romancières les plus lues dans le monde entre les années 1930 et les années 1970. L’autre est japonais, a une quarantaine d’années et déjà, derrière lui, une œuvre assez considérable, qui lui a valu la réputation d’un...
Lire la suiteChristian Bourgois l’avait déjà republiée dans les années 1980 : La Douce Colombe est morte, Les Ingratitudes de l’amour… Curieux destin que celui de cette romancière qui multiplia les liaisons mais ne vécut jamais qu’avec sa sœur, et n’exerça que dans...
Lire la suiteC’est le premier livre d’elle que je lis. Je m’étais fait de l’auteure galloise l’image d’une sorte d’ « icône lgbt » — une amie anglaise s’était même étonnée de la voir publiée en France dans des collections destinées au grand public. Honte à moi, je...
Lire la suiteIl est toujours fort instructif de lire les succès littéraires d'autrefois. Non seulement pour les enseignements qu'on en tire quant à l'évolution des goûts et des mœurs, mais parce qu'on s'aperçoit souvent que l'accueil qui leur a été réservé était loin...
Lire la suiteLe livre de Nell Leyshon s’inscrit délibérément dans une tradition : celle d’un certain roman anglo-saxon et campagnard, qui, de Jane Austen avec ses presbytères à Edna O’Brien et ses Filles de la campagne, traverse tout le XIXe siècle et étend quelques...
Lire la suiteJ’ai vu en 1985 le film d’Alan Bridges, sorti cette année-là, qui portait à l’écran ce roman paru en 1980 mais dont je ne savais rien alors. Tout ce que je me rappelle du film c’est James Mason, en hobereau raffiné, récitant le Notre-Père à l’agonie d’un...
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