Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Jim Crace aime l’apologue. Dans le très beau Quarantaine , il jouait avec la parabole biblique et la Bible elle-même. Le désert y servait de cadre à un huis clos à ciel ouvert, qui hésitait entre réalité très concrète et surnaturel, comme le sens lui-même...
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