Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Jim Crace aime l’apologue. Dans le très beau Quarantaine , il jouait avec la parabole biblique et la Bible elle-même. Le désert y servait de cadre à un huis clos à ciel ouvert, qui hésitait entre réalité très concrète et surnaturel, comme le sens lui-même...
Lire la suiteHasard des lectures et des publications… : je parlais la semaine dernière du roman d’Alain Blottière, Comment Baptiste est mort, dans lequel le désert et ses grottes jouent un rôle essentiel. Il en va de même du livre de Jim Crace, à propos duquel on...
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