Critique littéraire, billets d'humeur, entretiens avec des auteurs...
Tonino Benacquista, vous connaissez, bien sûr… Les romans, noirs (La Maldonne des sleepings, La Commedia des ratés, Gallimard, 1989 et 1991) ou pas (Malavita, Gallimard, 1997) ; les scénarios, de bande dessinée (Lucky Luke) ou de cinéma (Sur mes lèvres,...
Lire la suiteDepuis des années déjà, Stéphane Lambert invente une manière spéciale de parler de la peinture (1). Comment s’étonner que, dans ce livre où il annonce revenir « sur les dégâts occasionnés par le silence de [ses] parents et leur séparation », il inaugure...
Lire la suiteIl y a dix ans, j’avais aimé le roman de Marie Darrieussecq Clèves, qui venait de sortir, au point d’y consacrer le tout premier article de ce blog. Ce n’était pas l’histoire de madame de La Fayette. D’ailleurs je me méfiais déjà des romans biographiques....
Lire la suite« Le temps est si beau et si chaud que l’on peut sortir en blouse sans manches. Le pas-d’âne est encore en fleur, le pissenlit commence tout juste, et les premiers bourgeons des forsythias s’ouvrent. C’est le début de la période jaune… » On est au printemps,...
Lire la suiteLes gens qui me connaissent s’étonnent toujours de mon intérêt pour les îles du Pacifique. Il tient à des raisons familiales, leur expliqué-je. Je les ai d’ailleurs exposées jadis dans un récit intitulé Libérez-moi du paradis (Le Serpent à plumes, 2003)....
Lire la suiteÇa faisait un moment qu’on la sentait tourner autour d’un tel livre… En 2013, dans La Tête haute (1), Emmanuelle Lambert déguisait en roman la vie de Betty, sa grand-mère maternelle. En 2019, dans son bel essai, Giono, furioso (2), parlant du père de...
Lire la suiteLes éditions Delcourt sont devenues, il y a quelque temps déjà, le groupe Delcourt, qui, si j’ai bien suivi, se ramifie en collections, dont l’une, Les Avrils, publie sous ce seul label, cet automne, un premier roman. À le lire, on ne peut s’empêcher...
Lire la suiteC’est le narrateur. Il a dix ans. Il est « adepte de l’origami et de l’ombre, ennemi du sport et de la bagarre ». Quand il n’essaie pas, sans grand succès, de faire naître par pliage des grenouilles ou des hérons, il lit les romans de la collection «...
Lire la suiteLa belle phrase finale paraît tout résumer : « J’aurais aimé que ce récit d’elle constitue, en quelque sorte, la demeure dans laquelle elle puisse se réfugier ». Le nouveau livre d’Édouard Louis viendrait donc rejoindre Le Livre de ma mère (Albert Cohen),...
Lire la suiteÇa se passe pendant les années de la Prohibition, mais ce pourrait aussi bien se passer en 1948, quand parut pour la première fois ce deuxième roman de son auteure, cinq ans après le plus connu Lys de Brooklyn, adapté à l’écran par Kazan en 1945. Tout...
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