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Par Pierre Ahnne dans Notes de lecture le 5 Mai 2018 à 08:53...semble-t-il. Eco insiste sur l’apolitisme de l’écrivain mais ne peut cacher que Mussolini aimait ses romans, ni empêcher que le lecteur de Cocaïne ne tique un peu à certaines considérations sur les « Nègres » ou, incessamment, les femmes. Parfois, notre homme fait d’une pierre deux...