Le Lac aux demoiselles et autres nouvelles, C. F. Ramuz (Zoé poche)

En quinze brèves histoires de vies empêchées, le grand écrivain suisse dit la beauté et l’impossibilité du monde.

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Une sortie honorable, Éric Vuillard (Actes Sud)

La fin de la guerre d’Indochine, au point de vue de ceux qui l’ont voulue et ne savent plus comment en sortir… L’individu pris dans la grande machine de l’Histoire.

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L’Apocalypse heureuse, Stéphane Lambert (Arléa)

L’auteur de Visions de Goya évoque son enfance et son adolescence, mises en morceaux par les abus qu’il a subis et qui n’ont jamais été reconnus par son entourage. Comme la peinture, l’écriture est le lieu de passage qui permet de sortir de soi et d’aller au monde.

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Porca miseria, Tonino Benacquista (Gallimard)

Un auteur à succès parle de son enfance, de sa famille, de l’identité problématique héritée de parents qui ne savaient rien transmettre. Et des chemins détournés qui ont conduit jusqu’à une carrière d’écrivain l’enfant qui ne lisait jamais.

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Le Goût de l’hiver / Le Goût de l’écriture (Le Mercure de France)

Deux recueils de textes où des auteurs célèbres disent les plaisirs du coin du feu et ceux que l’on éprouve à y prendre la plume.

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Les Maisons vides, Laurine Thizy (L’Olivier)

L’adolescence de Gabrielle, emportée par la passion de vivre et par la foi. Un premier roman qui nous emporte aussi.

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Développement du sensible, Christophe Fiat (Seuil)

Besançon, début des années 1970 : le futur poète grandit, découvre la sexualité, la philosophie, l’écriture… Faussement (?) naïf, radical et rythmé.

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