-
Le Carnaval de Bâle (Pierre Ahnne)
Je ne suis jamais allé au Carnaval de Bâle. Et je ne m’y rendrai vraisemblablement plus jamais, j’ai fini par accepter l’idée que je n’aime pas les fêtes, la foule, la liesse et l’excès dionysiaque. À l’époque je n’aurais avoué pour rien au monde que je n’étais pas très porté sur Dionysos, ...
Pour lire la suite, cliquez sur: Télécharger « Le Carnaval de Bâle.doc.pdf »
-
Commentaires
10gillesVendredi 28 Juin 2013 à 18:04Il y a des signes étranges, j'ai entendu parler pour la première fois du carnaval de Bâle hier... Etranges, pas étonnants. Puisque cette histoire est celle de signes qui continuent à nous hanter, pour eux-mêmes. A mon avis, si les lèvres sont en sang, c'est parce que le masque vient d'être arraché. C'est un texte que j'aime parce qu'il se dérobe et se dévoile d'un même mouvement. Bref c'est vraiment un texte de carnaval.Répondre9Z leVendredi 28 Juin 2013 à 18:04en fait c'est à 4 heure du matin ... et il "caille" !Comme toi je n'y susi jamais allée et n'irai jamais : je n'aime pas le carnaval et toute cette sorte de choses...mais j'aime beaucoup ton texte .8Alain D.Vendredi 28 Juin 2013 à 18:04C'est un carnaval bien sombre, la doublure cachée d'un carnaval. Cela fait penser à une "Histoire de masque" de Jean Lorrain, ce qui pour moi n'est pas un mince compliment.Je répondrai, comme Queneau: "si ça fait rire tant mieux, j'écris pas pour emmieller l'monde"!...
Quelle séduisante manière de ne pas raconter une histoire...Je suis enchantée par tes histoires tordantes (j'avoue rire vraiment), tordantes par leur style, toujours si délicieusement pince-sans-rire et alambiqué. Le choc des modes de réaction aux événements est si drôlement rendu, par exemple ("Aujourd’hui cette histoire serait toujours
invraisemblable mais pour des raisons diamétralement opposées,Schmidt à présent courrait chercher la police ou tirerait de sa poche un coup de poing américain ou au moins un paquet de capotes.")!!!
Ajouter un commentaire