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À mes lecteurs : le point sur la situation
C’est fini. Edith Ayrton Zangwill aura été, avec Forte tête, le dernier auteur dont j’aurai parlé. Je veux dire le dernier auteur publié avant le confinement, bien sûr. Je vous rassure, du moins, je l’espère : il n’est nullement dans mes intentions de mettre fin à ce blog, que je tiens, bon an mal an, depuis bientôt neuf années. Seulement, je suis arrivé au bout de mon retard, et des livres de mars qui m’étaient parvenus.
Un jour, je vous entretiendrai de ceux d’avril, qui sont devenus ceux de mai, voire de plus tard encore : le dernier roman de Camille Laurens, un recueil de nouvelles d’Anne Serre, le texte que Stéphane Lambert a consacré au peintre belge Léon Spilliaert, d’autres encore… Les articles sont déjà faits, ne croyez pas que je paresse, il ne manque que les ouvrages eux-mêmes.
En attendant, je vous proposerai de quoi vous distraire, peut-être, en ces longues journées étrangement et ironiquement ensoleillées. Oh, pas de journal de confinement, rassurez-vous à nouveau. Mais…
- … toujours des Paroles d’écrivains, lesquelles, ces derniers temps, ont souvent été de poètes ;
- de courtes Fictions, de moi, dont certaines ont jadis déjà figuré sur ce blog, d’autres non ;
- des Retours en arrière sur des livres dont on parlait et à propos desquels j’ai moi-même écrit il y a… sept, huit ou neuf ans ; rubrique à laquelle je songeais depuis un moment déjà et que la pandémie me donne l’occasion d’inaugurer.
Ces ouvrages, ceux auxquels j’ai consacré mes derniers articles, vous pouvez les commander, par exemple ici :
https://www.placedeslibraires.fr
https://www.momox-shop.fr/livres-C08
https://www.fnac.com/SearchResult/ResultList.aspx?SCat=0%211&Search=livres&sft=1&sa=0
… ou chez votre libraire, si celui-ci a mis au point un système de retrait adéquat.
Donc, bonne lecture, comme toujours. Et soyez bien prudents en attendant des jours meilleurs.
P. A.
Tags : Coronavirus, confinement, ce blog, Pierre Ahnne
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Commentaires
Merci, merci Pierre Ahnne pour vos textes qui sont des bonheurs. Oui, ça ragaillardit et, pour saluer le si beau poême de C.F.Ramuz, (pardon C.F.Ramuz), ça ranime quand même, c'est bon par ce fichu printemps.
Hélène
Merci, Hélène Veyssier !